
DIEU FAIT TOUJOURS MISERICORDE
"Quel Dieu est semblable à toi, Qui pardonnes l’iniquité, qui oublies les péchés Du reste de ton héritage ? Il ne garde pas sa colère…
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Que donnerais-tu en échange de ton âme ?
Ces paroles sortent de la bouche de Jésus dans Matthieu 16 v 26, lorsqu’il explique quel chemin ceux et celles qui veulent le suivre doivent emprunter :
« Et que servirait–il à un homme de gagner tout le monde, s’il perdait son âme ? ou, que donnerait un homme en échange de son âme ?«
Notre âme est précieuse, sa valeur est inestimable.
L’évangile est simple et il nous pose une question. C’est une question liée au salut de notre âme. C’est une décision personnelle, une réalité lapidaire, criante, et parfois insoutenable. La réalité de celui qui veut suivre Christ est une réalité de renoncement à soi-même : « (…) Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il renonce à lui–même, (…) » (Mat 16 v 24).
Ce renoncement ne peut être vécu par personne d’autre que soi. C’est une histoire entre Dieu et l’intimité du secret du cœur de l’Homme. C’est une réalité invisible qu’il nous faut vivre, tout simplement. L’évangile n’a de raison d’être que pour être vécu. Cette vie, c’est la vie de l’Esprit. C’est la réalité des Fils et des Filles de Dieu.
Si nous nous détournons de cette réalité, Dieu nous voit. Si nous faisons semblant, Dieu nous voit encore. Si nous empruntons un chemin qui n’est pas celui du renoncement, Dieu nous voit toujours. Notre raisonnement intérieur aura beau nous excuser de ce refus d’obéir à l’appel divin, de nous justifier des meilleures justifications, nous enjoliver la réalité pour échapper à « LA » réalité, il n’en demeure pas moins que le seul chemin pour suivre Christ est celui du renoncement à soi-même.
Dieu patiente comme un père qu’il est, cherchant notre consentement pour nous instruire selon ses voies.
Jésus en parle à ses disciples en avance car il connaissait ce chemin, c’était son appel. Il a pris ce chemin pour en devenir « LE » chemin afin que nous puissions le prendre à notre tour et bénéficier de la vie éternelle. Il ne voulait pas aller sur la croix mais il s’est soumis, renonçant à sa volonté pour accomplir celle du Père : « Puis, ayant fait quelques pas en avant, il se jeta sur sa face, et pria ainsi : Mon Père, s’il est possible, que cette coupe s’éloigne de moi ! Toutefois, non pas ce que je veux, mais ce que tu veux. » (Mat 26 v 39)
Alors qu’à notre tour nous buvons cette coupe de la délivrance, par laquelle nous apprenons, jour après jour, à marcher en Lui, nous quittons l’illusion de la lettre religieuse qui, soulageant notre conscience, nous faisait croire que ce renoncement était un évènement isolé dans le temps, nous poussant à nous glorifier d’avoir abandonné quelques bribes de notre vie passée pour nous tourner vers Christ tout en continuant à marcher selon notre propre volonté.
Éclairés par l’évangile, nous entrons dans cette réalité invisible de Dieu où le renoncement n’est pas un évènement mais un chemin étroit et resserré. Un chemin où les hommes et les femmes matures en Christ ne voient plus selon les critères humains mais voient dans la foi, portés par une assurance en vue d’une espérance, vivant dans la démonstration des choses invisibles.
Lorsque Jésus fut emmené dans le désert par l’Esprit pour être tenté, Satan lui proposa notamment toute la puissance des royaumes de la terre et leur gloire, en échange de son adoration et de sa soumission (Luc 4 v 5 à 8).
Sa réponse fut d’une fermeté empreinte d’une sainteté sans équivoque qui caractérise les Fils du royaume : « Il est écrit : Tu adoreras le Seigneur, ton Dieu, et tu le serviras lui seul. »
Tout comme Jésus, délaissant les gloires de ce monde, goûtons à la liberté des affranchis en Christ et devenons réellement des enfants de lumière, sans nous remettre sous le joug de la servitude de nos passions mais cherchant à être esclaves de l’obéissance pour connaitre et vivre la réalité de la justice de Dieu : « Ne savez–vous pas qu’en vous livrant à quelqu’un comme esclaves pour lui obéir, vous êtes esclaves de celui à qui vous obéissez, soit du péché qui conduit à la mort, soit de l’obéissance qui conduit à la justice ? » (Rom 6 v 16).
Laissons-nous conduire par l’Esprit là où il le veut
Comme des serviteurs conduit par leur maître, afin de vivre l’évangile et de ne rien laisser nous écarter de notre chemin qui nous conduit à la vie éternelle, acceptons la souveraineté de l’Éternel dans les circonstances de nos vies :
« Nous savons, du reste, que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein. Car ceux qu’il a connus d’avance, il les a aussi prédestinés à être semblables à l’image de son Fils, afin que son Fils fût le premier–né entre plusieurs frères. » (Rom 8 v 28)
Puisons notre joie dans la seule réalité qui soit, celle que Dieu a fait de nous ses enfants et que nos noms sont inscrits dans les cieux : « Cependant, ne vous réjouissez pas de ce que les esprits vous sont soumis ; mais réjouissez–vous de ce que vos noms sont écrits dans les cieux. » (Luc 10 v 20)
Considérons comme une joie les occasions de gagner plus de Christ en nous au travers des diverses circonstances et épreuves de notre vie, car nous paraîtrons devant l’Éternel avec ce qui a été constitué de Christ en nous. Si nous acceptons de perdre notre vie, nous gagnons celle de Christ, sa nature, son image.
« C’est là ce qui fait votre joie, quoique maintenant, puisqu’il le faut, vous soyez attristés pour un peu de temps par diverses épreuves, afin que l’épreuve de votre foi, plus précieuse que l’or périssable qui cependant est éprouvé par le feu, ait pour résultat la louange, la gloire et l’honneur, lorsque Jésus–Christ apparaîtra, lui que vous aimez sans l’avoir vu, en qui vous croyez sans le voir encore, vous réjouissant d’une joie ineffable et glorieuse, parce que vous obtiendrez le salut de vos âmes pour prix de votre foi. » (1 P 1 v 6-9)
Redressons-nous, relevons la tête, (Luc 21 v 28) mettons une ceinture à nos reins et que nos lampes soient allumées (Luc 12 v 35) car notre Sauveur revient bientôt. Il viendra chercher son épouse, une épouse qui s’est préparée, une épouse qui s’est gardée pure, qui a fait tout au long de sa vie des réserves d’huile pour garder sa lampe allumée en acceptant de perdre sa vie pour gagner celle de Christ dans l’attente de celui qui revient bientôt.
« Réjouissons–nous et soyons dans l’allégresse, et donnons–lui gloire ; car les noces de l’agneau sont venues, et son épouse s’est préparée, et il lui a été donné de se revêtir d’un fin lin, éclatant, pur. Car le fin lin, ce sont les œuvres justes des saints. » (Ap 19 v 7)
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