Aloys Evina
Pasteur de l’Eglise de Dieu en France, membre de la Fédération Protestante de France, et directeur de la publication du Journal Chrétien, média ayant l’agrément du Ministère de la Culture.
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Dieu fait toute chose bonne en son temps. Ce verset ne nie pas la réalité du mal, mais il souligne que le mal n’est en aucune façon la faute de Dieu et, que si le mal et les malheurs affectent l’existence humaine, Dieu est aussi à l’œuvre pour faire du bien. Et il le fait en son temps : c’est donc qu’il maîtrise le temps et les circonstances, et ce, dans le but de faire du bien.
Il fait toute chose bonne en son temps ; même il a mis dans leur cœur la pensée de l’éternité, bien que l’homme ne puisse pas saisir l’œuvre que Dieu fait, du commencement jusqu’à la fin. Ecclésiastes 3:11
Tout demeure comme Dieu l’a créé, et non comme nous le percevons parfois. Nous avons tellement d’éléments du monde enracinés dans notre cœur, nous sommes tellement « enfermés » dans nos pensées et nos soucis matériels, que nous n’avons ni le temps, ni l’esprit de discerner la volonté de Dieu.
Le monde n’a pas seulement pris possession de notre cœur, mais il influe nos pensées relatives aux œuvres de Dieu. Si nous estimons que nous ne sommes nés que pour jouir égoïstement de ce monde, nous nous méprenons. Notre devoir ici-bas consiste à pratiquer le bien en cette vie, bien courte et incertaine ; nous ne disposons que de très peu de temps pour ce faire : « rachetons le temps ! ».
Une des satisfactions que nous procure la Providence consiste à être persuadés que « toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu. » Ce Dernier a tout fait, pour que les hommes puissent ressentir une crainte respectueuse envers Lui.
Le monde a été, il est, et il sera : aucun changement notable ne s’y opère, aucune tentation qui n’ai déjà existé, ne peut nous surprendre.
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