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Je le ferai quand-même!

Gravissant le chemin

Ce fardeau que je traîne

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Sans connaître demain,

Je marcherai quand-même !

 

Si des maux m’environnent

Que mon cœur est en peine

Sous l’orage qui tonne,

Je le suivrais quand-même !

 

Devrai-je être isolé ?

Le silence qui enchaîne

Devant lui prosterné,

Je le prierais quand-même !

 

Si elle tarde à venir

Ö ! Promesse lointaine !

Ne pouvant l’obtenir,

J’espérerais quand-même !

 

Quand tout serait contraire,

Aux paroles souveraines

Malgré ce goût amer,

Je le croirais quand-même !

 

Au plus fort des combats

Dans mes douleurs extrêmes

Si je ne comprends pas,

Je l’aimerais quand-même !

 

Si des voix s’élevaient,

Prétendant être reines

La sienne demeurerait,

Je l’écouterais quand-même !

 

Quand les pas seront lents,

La démarche incertaine

J’ignorerai les ans,

Et le louerai quand-même !

Et quand viendra le jour
Du rendez-vous suprême
C’est alors qu’à mon tour
Je le verrai moi-même !

Lecture : Psaume 27 v 3 :

Si une armée se campait contre moi, mon cœur n’aurait aucune crainte ; si une guerre s’élevait contre moi, je serais malgré cela plein de confiance.

Ce poème est également sur mon site de poésie:

http://www.poesie-chretienne.com/je-le-ferai-quand-meme.html

Ce poème est écrit pour mettre en avant la détermination de celui ou de celle qui a fait cette rencontre avec Dieu ; et qui désire à tout prix le suivre et compter sur sa grâce. Et même si tout semble aller à l’encontre de la bénédiction, il ou elle persiste dans son engagement à le suivre.

L’apôtre Paul était cet homme pleinement engagé à suivre le Seigneur, et en écrivant aux chrétiens de Rome, il affirmait : « Qui nous séparera de l’amour de Christ ? Sera-ce la tribulation, ou l’angoisse, ou la persécution, ou la faim, ou la nudité, ou le péril, ou l’épée ? » (Romains 8 v 35).

Rien ne semblait ébranler cet homme de Dieu, ni la maladie, ni l’âge, ni les persécutions ; il « marchait quand-même ! »

Puissions-nous les uns et les autres vivre ce poème, et ne jamais nous décourager, ni nous arrêter en chemin.

Souvenons-nous de ceux et celles mentionnés dans le livre des Hébreux, qui ont bravé tous les obstacles, parce qu’ils marchaient tous par la foi. Il est écrit concernant Moïse : « Il regarda l’opprobre de Christ comme une richesse plus grande que les trésors de l’Égypte, car il avait les yeux fixés sur la rémunération » (Hébreux 11 v 26). Et au verset suivant il est parlé de sa détermination : « C’est par la foi qu’il quitta l’Égypte, sans être effrayé de la colère du roi ; car il se montra ferme, comme voyant celui qui est invisible ».

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