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Synthèse de l’actualité africaine du 21 décembre 2019

Centrafrique : le parti pro-Touadéra refuse toute « instrumentalisation » du retour de l’ex-président Bozizé
BANGUI — Le Mouvement cœurs unis (MCU), une formation très proche du président centrafricain Faustin-Archange Touadéra, a mis en garde vendredi contre « toute forme d’instrumentalisation » politique du retour d’exil de l’ancien président déchu François Bozizé. Dans un communiqué, le MCU et ses alliés politiques disent espérer « que ce retour contribuera au renforcement de la paix, de la cohésion sociale, du vivre-ensemble et de la réconciliation nationale », notant que « le sang des Centrafricains a déjà beaucoup coulé ».

RDC : plus d’un quart des cas confirmés d’Ebola sont des enfants (OMS)
GENEVE — En République démocratique du Congo (RDC), un cas confirmé d’Ebola sur quatre est un enfant, a indiqué l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui souligne la corrélation entre la tranche d’âge d’une personne infectée par le virus et son cheminement vers la guérison. A la date du 17 décembre 2019, plus d’un quart de tous les cas d’Ebola confirmés en RDC étaient des enfants de moins de 18 ans. 28% ou plus précisément 898 cas sur 3.233, a indiqué l’OMS dans son bulletin d’information.

Un ancien procureur général nigérian arrêté pour des accusations de corruption
ABUJA — Les autorités nigérianes ont arrêté un ancien haut responsable pour abus de pouvoir et blanchiment d’argent présumés dans l’octroi de la licence de prospection pétrolière (OPL) 245 à Shell. Mohammed Adoke, ancien procureur général de la fédération et ministre de la Justice, a été arrêté à son arrivée au Nigeria jeudi, a annoncé la Commission des crimes économiques et financiers (EFCC), la principale agence nigériane de lutte contre la corruption.

Mauritanie : L’ancien président Mohamed Ould Abdel Aziz dit avoir des « craintes pour l’avenir politique » du pays
NOUAKCHOTT — Mohamed Ould Abdel Aziz, ancien président mauritanien (2008-2019), a affirmé que son retour au pays après sa sortie du pouvoir en août dernier, est motivé par ses craintes pour l’avenir politique de la Mauritanie, ont rapporté vendredi les médias locaux. « Je suis retourné au pays parce que je crains pour son avenir politique et je continue à avoir cette appréhension qui n’a cessé de grandir ces derniers jours », a déclaré l’ancien chef d’Etat mauritanien au cours d’une conférence organisée, jeudi soir, à son domicile.

Chrétiens TV

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