Synthèse de l’actualité ivoirienne du 30 novembre 2019
ABIDJAN, 30 novembre (Xinhua) — Voici les principales informations à la Une de journaux ivoiriens parus samedi :
FRATERNITE MATIN
Le président Alassane Ouattara a animé vendredi à Dabakala son 2ème meeting dans le cadre de la visite qu’il effectue depuis 72 heures dans la région du Hambol (centre-nord). Il a fait remarquer que de nombreuses actions de développement ont été déjà posées à Dabakala, dans divers domaines ces dernières années et a évoqué les autres projets de développement à réaliser dans le département dans les mois et années à venir, notamment dans les secteurs de l’eau potable, de la santé, de l’emploi-jeune et de l’autonomisation des femmes. S’agissant de l’élection présidentielle de 2020, il a exhorté les uns et les autres à la sérénité, car pour lui, 2020 se passera dans la paix. Il a précisé qu’aucun plan d’éviction ou d’exclusion de qui que ce soit n’est prévu. Il a promis une élection présidentielle libre, transparente et démocratique.
SOIR INFO
Le ministère de l’Environnement et du Développement durable a installé vendredi à Abidjan un comité permanent d’organisation des Conférences des parties sur le climat (CPO/COP). Présidé par le ministre en charge de l’Environnement, Joseph Séka Séka, ce comité inclusif et participatif regroupe 68 membres issus de toutes les parties prenantes clés, des acteurs de lutte contre le changement climatique dont les ministères, les institutions, le secteur privé, les partenaires techniques et financiers et la société civile. Son rôle est de mettre en place un cadre organisationnel qui permet une participation efficiente et durable de la Côte d’Ivoire aux futures COP sur le climat.
L’INTER
Le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI, d’Henri Konan Bédié) a décidé de récuser formellement la Commission électorale indépendante (CEI), cet organe en charge des élections en Côte d’Ivoire. Le chef du secrétariat exécutif de ce parti, Maurice Kakou Guikahué en a donné les raisons vendredi. Le PDCI refuse d’admettre la CEI mise en place pour le non respect de l’arrêt de la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples.
