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« Jette ton pain sur la face des eaux, car avec le temps tu le retrouveras » (Ecclésiaste 11:1)

Dieu nous exhorte à pratiquer la bienfaisance sans calcul de rentabilité ; même si le pain paraît perdu, il faut donner aussi à ceux qui ne peuvent rien rendre en retour (Luc 6:33-35), un bienfait n’est jamais perdu (Proverbes 11:24 ; 19:17 ; 22:9 ; Psaumes 112 ; Galates 6:9).

L’interprétation traditionnelle d’Ecclésiaste 11:1, dans le judaïsme comme dans le christianisme, est morale : elle voit dans le pain tout bienfait que l’on accomplit sans calcul en faveur des inconnus, et qui, un jour, trouvera sa récompense. Si cette récompense n’a pas lieu ici-bas, Dieu nous la donnera au dernier Jour. Jésus a fait plusieurs affirmations semblables (Matthieu 6:1-4 ; 14:16 ; 19:21 ; 25:37-40 ; Luc 6:38 ; 12:33 ; 14:12-14).

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La bienfaisance aura sa récompense

Il faut pratiquer la bienfaisance sans renvoi. Sur la surface des eaux, le pain semble perdu (Osée 10:7 ; Job 24:18). Mais ce n’est pas là une raison pour ne prêter ou ne donner qu’à qui peut rendre (Luc 6:33-35). Longtemps après peut-être tu le retrouveras (Proverbes 11:24 ; 19:17 ; 22:9 ; Psaumes 112:9 ; Galates 6:9).
Où que nous puissions être, nous pouvons toujours trouver une bonne œuvre à accomplir, si du moins nous avons le cœur de le faire. Il faut user de libéralité, même si cela peut nous sembler être du gaspillage et une perte. N’hésitons pas à donner abondamment ! Ne regrettons pas le bien que nous faisons, ne nous dérobons pas devant celui à qui nous pouvons encore procurer des bienfaits : ce ne sera pas vain ! Les richesses ne sont d’aucune utilité si nous n’en faisons pas profiter notre entourage. Chacun doit chercher à être une bénédiction là où Dieu l’a placé.

Lance ton pain à la surface de l’eau

Dans tout l’Ancien Testament, l’eau représente essentiellement l’insécurité, les menaces et le danger. Lancer son pain à la surface de l’eau signifie le mettre en jeu, ne pas craindre le risque de le perdre. Ce n’est rien moins que le renoncement à une existence assurée, le renoncement à cet idéal de vie que poursuit naturellement tout homme normal et qui est une vie sans danger depuis le berceau jusqu’à la tombe.
Lancer son pain à la surface de l’eau est un appel exigeant qui nous invite à la bienfaisance et à la générosité : celui qui partage généreusement son pain avec son frère et son prochain, le recouvrera ultérieurement.
Le « pain » pourrait aussi désigner le « pain spirituel », c’est-à-dire l’Evangile que nous sommes appelés à répandre largement, sans nous préoccuper de savoir si le « terrain » que nous ensemençons nous semble fertile. Combien d’histoires racontent les « récoltes » inattendues d’Evangiles ou de Bibles semées presque au hasard et qui ont trouvé des personnes en recherche de la vérité. Ce qui est vrai de la Parole de Dieu l’est également de notre témoignage et de toute littérature chrétienne.

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